mercredi 25 décembre 2013
mardi 24 décembre 2013
vendredi 20 décembre 2013
lundi 16 décembre 2013
samedi 14 décembre 2013
divagation 2
Non vraiment, je me questionne, je m'interroge.
La réalité, la vérité, les petites choses qui façonnent notre vie.
Non vraiment, je me questionne, je m'interroge.
Nous étions dans cette boite. Ni trop grande, ni trop petite pour nous accueillir.
Plus longue que large. On aurait pu dire que nous étions autour d'un feu.Un feu de camp. Pratiquement serrés les uns contre les autres. On se regardait par delà les flammes. Essayant de percevoir l'âme de notre voisin ou bien nous étions perdu dans nos pensées, le regard vide... Certains riaient ! Peut-être que d'autres pleuraient intérieurement... Ainsi commençait la danse... La lumière venait d'un peu partout. Elle était froide, blanche comme souillée. Elle s'invitait par le toit, filtrée par de la tôle transparente à moitié jaunie ou peut être pas. Oui nous étions sous les toits. Nous étions ces serviteurs, ces mal lotis qui habitaient sous les toits. Le temps en avait décidé ainsi. Nous avions le teint morne malgré notre humeur joviale ! Nous attendions un temps.
C'est un temps. Il est un temps. Il est arrivé. Il s'est assis. C'est un temps. D'un regard, comme un sonar, de gauche à droite il balaya l'assemblée. C'est un temps. Il a peut-être été dans une autre vie un métronome : Tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac, un andante entrecoupé d'allegro. D'un geste rapide et sûr il passe sa main dans ses cheveux comme pour marquer une note de passage. En deux trois mouvements il sort sa partition, il sort son stylo. Il ne fait pas de gestes brusques, il pointe de sa baguette pour rythmer son tracé. Note peut-être la date. C'est un temps. Le bruit environnant s'estompe. De simples résidus persistent. Il attend, il regarde. il dialogue. C'est un temps.
Non vraiment, je me questionne, A vrai dire je m'interroge.
La réalité, la vérité, les petites choses qui façonnent notre vie.
Non vraiment, je me questionne, je m'interroge.
-Pleine main j'ai reçu.
-Pleine main je donne.
-donner c'est donner.
-reprendre c'est volé !
Nous étions dans cette boite. Ni trop grande, ni trop petite pour nous contenir.
Nous attendions, nous discutions, nous rêvassions. On aurait pu dire que nous étions proches. Nous étions proche par le vide.
- Tu veux un verre de vide ?
-Volontiers ! On m'a dit que c’était délicieux le vide !
-ouai c'est vrai. Celui là n'est pas mauvais. J'en ai goutté des meilleurs !
- tu le trouves comment ?
- Ben il est fruité, ma foi ! Clair... et riche !
- Faudrait qu'on t’emmène goutter celui d'ailleurs !
Le vide serait meilleur ailleurs. peut être là où il y a du plein... allez savoir. En pensant, j'observais. J'observais. ils parlaient, ils étaient sérieux. Du moins en façade. Au fond peut être, qu'ils étaient tristes ? Peut être qu'ils se détestaient ? Le vide les influençait-il peut être ?
Tout ces visages, des traits, des angles, des courbes,des couleurs et cette lumière. Elle nous rajeunissait, elle nous transportait. Le temps en avait décidé ainsi... Cela ne durerait pas. Juste le temps d'un instant.
Non vraiment, je me questionne, A Vrai dire je m'interroge.
La réalité, la vérité, les petites choses qui façonnent notre vie.
Non vraiment, je me questionne, je m'interroge.
jeudi 12 décembre 2013
dimanche 8 décembre 2013
vendredi 6 décembre 2013
Divagation 1
Du plein on tire le vide.
Temps, temps, temps.
Puis-je accompagner le vide de telle sorte qu'il devienne un plein ?
Temps.
Puis-je façonner le plein de telle sorte qu'il devienne un vide ?
Un temps, deux temps, trois temps.
De l'élève s'élève le maître...
Trois temps. Deux temps. Un temps.
Le maître élève le vide de l'élève pour qu'il devienne plein.
Plein, vide. Plein de vide.
Le temps.
Le temps plein.
Le temps plein de vide.
Le vide est plein.
Le vide est plein de temps.
Le vide est plein.
Le vide est plein de temps.
Nous aimerions tous avoir du temps plein de vide.
L'élève est plein de temps pour combler le vide.
Le maître est plein de temps. il n'a plus le temps d'être vide.
Il n'a plus le temps d'avoir le temps.
Le maître est plein de temps. il n'a plus le temps d'être vide.
Il n'a plus le temps d'avoir le temps.
L'élève remplit le temps vide du maître.
Rythmer le temps. Donner du temps.
Donner un rythme au temps.
Rythmer le temps est architecture ?
Rythmer le vide, rythmer le plein.
Rythmer le temps est architecture...
Rythmer, plein, rythmer, vide,
Plein, , plein, , ,plein.
, ,plein. , plein, .
Plein de rythme.
Du vide on tire le plein.
Du plein on tire le vide.
Temps.
jeudi 5 décembre 2013
ChEvAl mOuVeMeNt
mardi 3 décembre 2013
lundi 2 décembre 2013
WaTeR
Déconstruire
Résonner
Liquide onduler
Rond
S'emporter dériver
Émotions
Exprimer ses émotions
Tempête Tempête
Goutte à Goutte
dimanche 1 décembre 2013
Lune
Lune, Lune, Lune...
Du haut de cette dune,
Nous écrivons en toute rune,
De cette encre couleur de prune.
Les mots, les mots, les mots...
Qui voyagent ; sans sanglots
Vers les doux pays chauds.
Ainsi se dessine notre tableau.
Le temps, le temps, le temps...
Passe, glisse rapidement,
Nous rappelle que nous sommes pénitents.
Que ferons nous face au Léviathan ?
Lune, Lune, Lune...
Nous chantons tes grâces.
Peut être calmeras tu nos angoisses ?
Sois notre souffle, sois notre Alias.
Lune, les mots, le temps, lune...
DeAdWoOd 3
Marcher
Espoir
S’évader
Marcher
Espoir
S'évader
Marcher marcher
Espoir espoir
S'évader s'évader
Marcher
Espoir marcher
S'évader Espoir
S'évader
Nous vaincrons nous vaincrons
Marcher
Marcher Espoir
Espoir S'évader
S'évader
Marcher marcher
Espoir espoir
S'évader s'évader
Nous marchons nous vaincrons
Nous espérons nous marchons
Nous nous évadons nous espérons
nous nous évadons
Marcher
Espoir
S'évader
Nous vaincrons nous vaincrons
Espoir
S’évader
Marcher
Espoir
S'évader
Marcher marcher
Espoir espoir
S'évader s'évader
Marcher
Espoir marcher
S'évader Espoir
S'évader
Nous vaincrons nous vaincrons
Marcher
Marcher Espoir
Espoir S'évader
S'évader
Marcher marcher
Espoir espoir
S'évader s'évader
Nous marchons nous vaincrons
Nous espérons nous marchons
Nous nous évadons nous espérons
nous nous évadons
Marcher
Espoir
S'évader
Nous vaincrons nous vaincrons
vendredi 29 novembre 2013
jeudi 28 novembre 2013
DeAdWoOd 2
du désespoir rend
l'avenir est incertain.
Nous sommes en marche
marche
arriver
monter
combattre
fierté
Nous bombons le torse
torse
Avancement
La lutte...
C'est l' espoir
de la progression
qui rythme,
Nous pousse à croire.
Marchons en cadence
Grandir
Formez les rangs
Atteindre
Progresser
Réussite
Motiver
Combattre
Gagner
intensité
Marteler
nous devons redoubler d'effort !
ne rien lâcher
Mental
Force
Pause
Regain
Essouffler
Penser
Réveiller
Déception
Reprise
Exagérer
Amplifier
Moteur
Actionner
Accumulation
Chaos
Désordre
Synthèse
Arriver
Descendre
Divin
Consécration
mercredi 27 novembre 2013
Peut être...
Un jour...
Une nuit...
Sans faire de bruit,
Je grave au fond de cette cour,
Le poids de l'ancienneté.
Une nuit ...
Un jour...
En toute honnêteté,
J'admire avec sagesse,
Les tours et les détours de la délicatesse.
Maîtriser son animosité.
Ne pas répondre aux hostilités.
Apprécier la simplicité.
Le jour...
La nuit...
Tout est un combat,
Point de débat.
Chacun porte ses qualités.
Ensemble touchons la générosité.
Le jour...
la nuit...
Le cœur porte les rêves,
Ainsi la nuit s'achève.
Une nuit...
Sans faire de bruit,
Je grave au fond de cette cour,
Le poids de l'ancienneté.
Une nuit ...
Un jour...
En toute honnêteté,
J'admire avec sagesse,
Les tours et les détours de la délicatesse.
Maîtriser son animosité.
Ne pas répondre aux hostilités.
Apprécier la simplicité.
Le jour...
La nuit...
Tout est un combat,
Point de débat.
Chacun porte ses qualités.
Ensemble touchons la générosité.
Le jour...
la nuit...
Le cœur porte les rêves,
Ainsi la nuit s'achève.
mardi 26 novembre 2013
PoEmE ElEcTrOnIQuE 3
Avertissement
Avertissement
Communiquer
Communiquer communiquer
Communiquer communiquer
Communiquer communiquer émotion
travailler
Communiquer travailler
Communiquer émotion
Rythmer s'interroger
Rythmer rythmer
Rythmer s'interroger
Temps compter compter
Temps
Temps émotion émotion
émotion émotion
Avertissement avertissement avertissement
Avertissement avertissement avertissement
Communiquer communiquer
Communiquer communiquer
Communiquer communiquer
Avertissement
Avertissement
S'interroger s'interroger s'interroger
s'interroger s'interroger
compter
compter compter
émotion
travail émotion
communiquer communiquer communiquer
communiquer communiquer temps
émotion temps
rythme temps
s'interroger
travail
travail compter
compter
communiquer communiquer communiquer
communiquer communiquer
s'interroger communiquer
s'interroger
rythmer rythmer
travail avertissement avertissement
départ
Avertissement
Communiquer
Communiquer communiquer
Communiquer communiquer
Communiquer communiquer émotion
travailler
Communiquer travailler
Communiquer émotion
Rythmer s'interroger
Rythmer rythmer
Rythmer s'interroger
Temps compter compter
Temps
Temps émotion émotion
émotion émotion
Avertissement avertissement avertissement
Avertissement avertissement avertissement
Communiquer communiquer
Communiquer communiquer
Communiquer communiquer
Avertissement
Avertissement
S'interroger s'interroger s'interroger
s'interroger s'interroger
compter
compter compter
émotion
travail émotion
communiquer communiquer communiquer
communiquer communiquer temps
émotion temps
rythme temps
s'interroger
travail
travail compter
compter
communiquer communiquer communiquer
communiquer communiquer
s'interroger communiquer
s'interroger
rythmer rythmer
travail avertissement avertissement
départ
dimanche 24 novembre 2013
thinking
Nous étions là, comme seuls au monde. nous étions là, perdus.
Il était peut être temps de savoir pourquoi nous en étions arrivés là.
En fait, il était important de se perdre. De perdre nos repères.
Il était important de découvrir, de s'approprier les lieux.
Lire...
Il fallait lire...
C'est si simple de lire... Au diable ! Au diable l'histoire !
Nous étions des voyants aveugles . Par ci, par là, par delà, des murs, des fenêtres, des arbres.
Il fallait apprendre à regarder..
Il fallait apprendre à regarder..
Nous visitions nos propres corps. Nous n'avions consciences que de peu de choses.
Nous étions ce sang qui circule à travers ses artères. Nous faisions partis d'un temps.
Nous faisions partis d'un battement. Nous participions à lui donner vie .
Pourtant nous n'en savions rien. Peu d'entre nous la ressentait.
tu étais là, comme posée, entourée de verdure.
Nous admirions ta simplicité. Peut être pas... peut être que certains t'ont fustigé. Peut être que certains t'auraient brûlé...
tu nous offrais tes courbes voluptueuses. tu partageais ton horizontalité.
tu étais certainement un héritage.
Tout ceci n’est peut être qu'une façade après tout...
Ton cœur se trouve peut être ailleurs...
j'aurais tellement aimé que tu continues à me séduire davantage...
Nous admirions ta simplicité. Peut être pas... peut être que certains t'ont fustigé. Peut être que certains t'auraient brûlé...
tu nous offrais tes courbes voluptueuses. tu partageais ton horizontalité.
tu étais certainement un héritage.
Tout ceci n’est peut être qu'une façade après tout...
Ton cœur se trouve peut être ailleurs...
j'aurais tellement aimé que tu continues à me séduire davantage...
vendredi 22 novembre 2013
Nouvelle lecture nouvelle écoute
Nouvelle écoute nouvelle lecture
Corbu
Varêse
Sonnes le Glas glacer
Tombe goutte à goutte
Tomber
Vivre
nous nous étonnons
L'horizon l'horizon
Rien à l'horizon
se succéder
Le langage s'articuler
Multiple nous nous démultiplions
Vrille partir
Décoller
Sonnes le glas glacer
Toc toc toc qui est là ? l'effroi
s'écraser
fantôme
symptôme sommes nous des fantômes ?
métallique mécanique
c'est un film fil directeur
s'interroger
déroger s'interroger sur la vie
crier, chanter vivre à plein temps
crier, chanter
changement
tempête funeste
Corbu
Varêse
Sonnes le Glas glacer
Tombe goutte à goutte
Tomber
Vivre
nous nous étonnons
L'horizon l'horizon
Rien à l'horizon
se succéder
Le langage s'articuler
Multiple nous nous démultiplions
Vrille partir
Décoller
Sonnes le glas glacer
Toc toc toc qui est là ? l'effroi
s'écraser
fantôme
symptôme sommes nous des fantômes ?
métallique mécanique
c'est un film fil directeur
s'interroger
déroger s'interroger sur la vie
crier, chanter vivre à plein temps
crier, chanter
chœur
nettoyer,éclairchangement
tempête funeste
jeudi 21 novembre 2013
Parfois je suis
Parfois je suis,
Parfois je nous,
Suis je Parfois ?
Nous, parfois...
Parfois, nous...
Je suis parfois.
Je nous.
Suis parfois, parfois, parfois, parfois.
parfait
Nous parfait parfois, parfait, parfois.
Nous parfait parfois parfumer.
Je suis parfumer parfois parfait.
Nous parfois parfumer.
Parfumer, parfumer, parfumer.
Imparfait parfois parfumer...
Parfait suis je imparfait ?
Parfois je nous,
Parfait imparfait fait, fait, fait, fait, nous.
Nous parfait imparfait parfois parfumer parchemin.
Par ce chemin je nous parfois imparfait suis, suis, suis, parchemin.
Parfois je suis,
Parfois je nous,
Suis je parchemin ?
Nous, parchemin ...
Par ce chemin, nous...
Je suis parchemin.
Je nous.
Parfois je nous,
Suis je Parfois ?
Nous, parfois...
Parfois, nous...
Je suis parfois.
Je nous.
Suis parfois, parfois, parfois, parfois.
parfait
Nous parfait parfois, parfait, parfois.
Nous parfait parfois parfumer.
Je suis parfumer parfois parfait.
Nous parfois parfumer.
Parfumer, parfumer, parfumer.
Imparfait parfois parfumer...
Parfait suis je imparfait ?
Parfois je nous,
Parfait imparfait fait, fait, fait, fait, nous.
Nous parfait imparfait parfois parfumer parchemin.
Par ce chemin je nous parfois imparfait suis, suis, suis, parchemin.
Parfois je suis,
Parfois je nous,
Suis je parchemin ?
Nous, parchemin ...
Par ce chemin, nous...
Je suis parchemin.
Je nous.
Shadows
Lumière des ténèbres !
Lumières des ténèbres... Lumières des ténèbres !
Qui descend sur cette marche, marche, marche funèbre.
funèbre
Marche funèbre
Éclaire le monde obscur !
monde obscur !
éclaire obscur !
Qui se perd dans les jupes de Mercure...
perd Mercure,
Qui jupes,
De Grace ! De Grace !
Grace !
Prenons place ! prenons place...
aux milieux des ombres
prenons milieux
Prenons ombres
Prenons place milieux ombres
ils nous restent le temps pour compter les heures sombres...
restent temps sombres...
nous compter sombres.
ils pour les heures.
le temps compter heures
temps sombres...
L'opprobre guette les marchands de bonheurs
l'opprobre guette les marchands
l'opprobre guette
l'opprobre..
Le bonheur...
L'ombre...
L'ombre du bonheur guette les marchands de l'opprobre.
Lumières des ténèbres... Lumières des ténèbres !
Qui descend sur cette marche, marche, marche funèbre.
funèbre
Marche funèbre
Éclaire le monde obscur !
monde obscur !
éclaire obscur !
Qui se perd dans les jupes de Mercure...
perd Mercure,
Qui jupes,
De Grace ! De Grace !
Grace !
Prenons place ! prenons place...
aux milieux des ombres
prenons milieux
Prenons ombres
Prenons place milieux ombres
ils nous restent le temps pour compter les heures sombres...
restent temps sombres...
nous compter sombres.
ils pour les heures.
le temps compter heures
temps sombres...
L'opprobre guette les marchands de bonheurs
l'opprobre guette les marchands
l'opprobre guette
l'opprobre..
Le bonheur...
L'ombre...
L'ombre du bonheur guette les marchands de l'opprobre.
mardi 19 novembre 2013
PoEmE eLeCtRoNiQuE 2
cloche, CLOCHE
tomber, tirer sonner,SONNER
circuler, respirer.
SONNER, sonner.
JE
deviens
SOURD
sourd
nous
devenons
sautiller
déplacer
proximité
tout
se
brouille
l'esprit est une locomotive qui fume
loin
loin
loin
tirer
ONDULER
fremir fremisssement
cris
sursauter
le silence est un bruit
changement changement changement
DANGER
et le temps qui passe
passe
passe
il se tasse
s'allonge
s'etire
rythme cardiaque
mort, voyage, reflexion
cris, tristesse
s'envoler
surpris
rythme effrayer
ryhtme effrayant
stuppeur
stupide
stupéfiant
et le bruit qui défile
le bruit est un silence
accorder
s'accorder
à la corde
ressentir la hauteur vertige
et le temps qui court,devient court
allez loin, très loin, univers.
tomber, tirer sonner,SONNER
circuler, respirer.
SONNER, sonner.
JE
deviens
SOURD
sourd
nous
devenons
sautiller
déplacer
proximité
tout
se
brouille
l'esprit est une locomotive qui fume
loin
loin
loin
tirer
ONDULER
fremir fremisssement
cris
sursauter
le silence est un bruit
changement changement changement
DANGER
et le temps qui passe
passe
passe
il se tasse
s'allonge
s'etire
rythme cardiaque
mort, voyage, reflexion
cris, tristesse
s'envoler
surpris
rythme effrayer
ryhtme effrayant
stuppeur
stupide
stupéfiant
et le bruit qui défile
le bruit est un silence
accorder
s'accorder
à la corde
ressentir la hauteur vertige
et le temps qui court,devient court
allez loin, très loin, univers.
jeudi 14 novembre 2013
mercredi 13 novembre 2013
PoEmE ElEcTrOnIqUe
Sons
cloche, cloche, sonne, sonne.
Tombe, tirez, circule, respirez.
JE DEVIENS SOURD.
Sautiller, déplacer, proximité.
Tout se brouille...
l’esprit est une locomotive qui fume...
Loin... Loin... tirer, tirer.
Onduler, frémir, cris, sursauter !
Le silence est un bruit...
CHANGEMENT
DANGER
Et le temps qui passe... qui passe...
Il se tasse, s’allonge... s’étire...
rythme cardiaque, mort
voyage, réflexion
HUMMM GA ! HUMMM GA !
Rythme, effrayer, rythme, effrayant...
Stuppeur, stupide, stupéfiant !
Et le temps qui défile
Le bruit est un silence
Accorder
S’accorder
A la corde
ressentir, la hauteur, vertige...
Et le temps qui court, devient court.
Allez loin, très loin, Univers...
DeAdWoOd
Explosion, sentiment, Battement...
tirer
Vaincre ÉTIRER
combattre lourd
vaincu tirer
mourir pesant
ÉTIRER
Cri
Espoir, espère,
croire, miroir, lourd
sueur, goutte,
projeter, projection, crier
CHAOS CHAOS
NEAN NEAN lourd danger
crier alerter
ARYTHMIE
ARYTHMIE
ARYTHMIE
unité
unir
punir s’évader
s’élancer
s’évader
s’élancer
réussir,s’évader, enchanter
NOUS SOMMES RÉUNIS
DeAdWoOd
tirer
Vaincre ÉTIRER
combattre lourd
vaincu tirer
mourir pesant
ÉTIRER
Cri
Espoir, espère,
croire, miroir, lourd
sueur, goutte,
projeter, projection, crier
CHAOS CHAOS
NEAN NEAN lourd danger
crier alerter
ARYTHMIE
ARYTHMIE
ARYTHMIE
unité
unir
punir s’évader
s’élancer
s’évader
s’élancer
réussir,s’évader, enchanter
NOUS SOMMES RÉUNIS
DeAdWoOd
mardi 12 novembre 2013
lundi 11 novembre 2013
La phrase Urbaine
La ville file.
La ville chante.
Hante moi ! La ville...
Je te dessine d'un trait habile.
Urbaine attitude.
La ville nous fait rude.
Nous sommes comme ces barres,
Malade de la rectitude.
La ville chante.
Hante moi ! La ville...
Je te dessine d'un trait habile.
Urbaine attitude.
La ville nous fait rude.
Nous sommes comme ces barres,
Malade de la rectitude.
Eau
Roule...
Doucement...
Lentement...
Roule...
Rien n'échappe à ce bruit incessant...
Qui berce les marins tout le temps.
Tu es vagues...
Qui s'écrase, se projette, sur ces millions d'habitants.
Tu nous nargues.
Car jamais nous n'arrivons à te rattraper en te suivant.
Et si je t'attrape, tu enfuis...
Gouttes par gouttes, de mes mains tu fuis.
Roule...
Doucement...
Lentement...
Roule...
Vers de lointains survivants !
Doucement...
Lentement...
Roule...
Rien n'échappe à ce bruit incessant...
Qui berce les marins tout le temps.
Tu es vagues...
Qui s'écrase, se projette, sur ces millions d'habitants.
Tu nous nargues.
Car jamais nous n'arrivons à te rattraper en te suivant.
Et si je t'attrape, tu enfuis...
Gouttes par gouttes, de mes mains tu fuis.
Roule...
Doucement...
Lentement...
Roule...
Vers de lointains survivants !
Ouverture
Silence...
Silence !
Si je me lance,
En disant ce que je pense,
Je ne sais si on en comprendra le sens...
Jour et nuit,
Nuit et jour,
Je cours, je produis...
Et je porte... et je porte !
A travers tout ce bruit,
cette lourde plume... Mais qu'importe !
Je suis ici pour partager mes gribouillis...
Silence !
Si je me lance,
En disant ce que je pense,
Je ne sais si on en comprendra le sens...
Jour et nuit,
Nuit et jour,
Je cours, je produis...
Et je porte... et je porte !
A travers tout ce bruit,
cette lourde plume... Mais qu'importe !
Je suis ici pour partager mes gribouillis...
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